Programme du concert Invitation aux voyages

Programme du concert Invitation aux voyageS

TangoS, Olivier Rabet (1984 - )

TangoS est une invitation à explorer l'univers du tango sous ses différentes formes - tango, valse et milonga, qui prend un malin plaisir à jouer avec les codes.
Élaborée à partir d'un motif unique de quatre notes - Ré bémol Mi bémol Do Mi bécarre – elle fait plus référence à l'âge d'or du tango des années 1950/60 qu'aux œuvres d'Astor Piazzolla, sans toutefois se priver de leur richesse musicale.

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Programme du concert Légendes romantiques

Programme du concert Légendes romantiques

Wagner, Siegfried-Idyll en mi Majeur

Le matin du 25 décembre 1870, treize musiciens s’installent en secret dans le grand escalier de la villa de Richard Wagner, à Tribschen en Suisse. A l’arrivée de la maîtresse de maison, Cosima, ils se mettent à jouer cette ode à la félicité conjugale, dirigés par le mari aimant qui offre ainsi à sa femme, épousée la même année, un magnifique cadeau d’anniversaire (Cosima est née le 24 décembre 1837). Pour conserver la beauté de ce tableau nous laisserons de côté le fait que Cosima, fille de Liszt, était quelques mois auparavant la femme de Hans Von Bülow, grand chef d’orchestre et protecteur de Wagner, et qu’elle avait pourtant déjà donné à son amant trois enfants, dont le petit Siegfried, né en 1869.

C’est en hommage à cette paternité que le morceau, remanié par la suite pour un plus grand effectif, reprend certains thèmes de l’opéra Siegfried, troisième journée du grand œuvre de Wagner, la tétralogie de L’Anneau du Nibelung. Plutôt que d’insister sur l’exaltation héroïque, le compositeur crée une atmosphère intime, choisissant comme thème principal la mélodie chantée par la Walkyrie pour adoucir les élans passionnés du héros, dans le dernier acte de l’opéra. Certes le cor de Siegfried se fait parfois entendre dans l’Idylle, mais c’est la tendresse amoureuse que Richard voue à Cosima qui donne son caractère à cette unique œuvre symphonique du maître de Bayreuth.

Schumann, quatrième symphonie en ré mineur, opus 120

Cette quatrième symphonie est en réalité la deuxième composée par Schumann, en 1841. Son originalité a toutefois entraîné une réception publique difficile ; le compositeur la remania donc profondément dix ans plus tard, la reportant en quatrième position. On sait la maladie de Schumann, sa folie finale et son suicide en 1856, mais cela nous dit peu de choses sur ses tourments de compositeur, et notamment la contradiction permanente entre son idéal beethovénien de maîtrise de la forme, et ses intuitions d’instants musicaux parfois éclatés. La solution trouvée dans cette symphonie est d’une grande force : derrière les ruptures apparentes (les variations fréquentes de tempo, les différences parfois abruptes de caractère…) se cache une profonde unité. Elle est produite déjà par l’absence de pause entre les mouvements, et surtout par l’omniprésence d’un thème : exposé dès l’introduction lente du début de l’œuvre, il est repris dans chacun des mouvements suivants. L’organisation cyclique ainsi établie donne une allure très moderne à cette « fantaisie symphonique », selon sa première appellation.

L’origine de ce thème principal est remarquable : ses premières notes (fa-mi-ré-do#-ré) sont construites à partir du prénom de la femme de Schumann, épousée en 1840, un an avant la composition de la symphonie. Ce motif, symbole de l’amour, triomphe ainsi des tensions musicales, de même que la force du lien entre Clara et Robert a vaincu ce qui, tel le père de la jeune femme, voulait les séparer.


Violoncelliste diplômé du CRR de Versailles (Médailles d’or de violoncelle, formation musicale et écriture) et de l’Ecole Normale de Musique de Paris (Diplôme Supérieur de Concertiste), Johannes Le Pennec mène pendant plus de quinze ans une carrière de chambriste (DuoCelli, trio, quintette…) et de musicien d’orchestre (Orchestre National des Pays de la Loire, Orchestre Colonne…), régulièrement comme violoncelle solo, donnant de nombreux concerts tant en France qu’à l’étranger.

Il choisit ensuite de réaliser la vocation pour laquelle il ressent un appel depuis de nombreuses années : la direction d’orchestre. Son parcours l’a amené à diriger des formations telles que l’Orchestre Symphonique de
Bretagne, L’Orchestre National de Metz, l’Orchestre d’Harmonie de Levallois, à collaborer avec les Chœurs de Radio-France et il fera ses débuts en 2019 avec les Clés d’Euphonia, les Ondes plurielles et l’Orchestre Régional de Normandie. Par ailleurs, il a été nommé chef associé de l’Orchestre Symphonique Maurice Ravel et est directeur musical de l’Orchestre Symphonique du Réseau des Conservatoires, à la tête duquel il dirige un large répertoire et accompagne des solistes tels que Marc Coppey, Hervé Joulain ou Jonathan Fournel.

Titulaire du Diplôme d’Etat et du Certificat d’Aptitude de professeur de violoncelle, Johannes Le Pennec enseigne au CRI de Palaiseau et est régulièrement appelé comme jury par des conservatoires tels que le CRR de Paris.


Programme du concert Danses !

Programme du concert Danses !

Suite de danses, Béla Bartók (1881-1945)

Œuvre composée en 1923

Le contexte de création de ce morceau est particulièrement patriotique : pour célébrer les 50 ans de la création de la ville de Budapest (par la fusion des anciennes villes de Buda, Pest et Obuda), les trois plus grands compositeurs hongrois vivants (Dohnanyi, Kodaly et donc Bartók) reçurent une commande.

A la différence de Kodaly et de son Psalmus Hungaricus, Bartok opta pour une forme moins pesante (la danse) et plus ouverte (des sonorités roumaines ou arabes se joignant aux traditions musicales proprement hongroises).

Les cinq danses se distinguent fortement par leur tempo et leur caractère, mais sont reliées par une ritournelle légère et facilement mémorisable, qui revient trois fois dans l’œuvre.

De même que le Beau Danube bleu pour Vienne et Strauss, cette Suite de danses arrive à sonner comme une musique typiquement hongroise tout en manifestant l’art singulier de Bartók, celui-ci créant un folklore sonore qui n’appartient qu’à lui.

Le Beau Danube bleu, Johann Strauss II (1825-1899)

Valse composée en 1866

Vienne, ses valses, ses robes à crinoline tournoyant au son des notes de la grande famille des Strauss… il est difficile de ne pas avoir ce genre d’images au charme suranné lorsqu’on entend parler de Johann Strauss fils. Mais il ne faut pas s’y arrêter, car le compositeur le plus célébré du romantisme viennois est loin d’être un conservateur timide : il s’impose contre la volonté de son père, va jusqu’à devenir son principal concurrent… et est par ailleurs arrêté pour avoir joué La Marseillaise lors de la révolution de 1848 qui renversa le vieux gouvernement de Metternich !

Est-ce aller trop loin que d’entendre des traces de ces révoltes dans la manière dont il joue avec les contraintes formelles de la valse, et arrive à toujours la renouveler sans jamais vraiment la changer ? Écoutez l’introduction de ce beau Danube, ses sonorités de cors, la manière dont la danse se fait attendre afin de rendre l’arrivée de son mouvement encore plus vivante…

Ravel ne s’y est pas trompé en lui rendant hommage dans sa propre Valse, pas plus que Kubrick en le choisissant pour accompagner son ballet de vaisseaux spatiaux : Le Beau Danube Bleu montre comment la liberté créatrice transcende ce qui pourrait apparaître comme un divertissement superficiel voire rétrograde.

La Valse, Maurice Ravel (1875-1937)

« Des nuées tourbillonnantes laissent entrevoir, par éclaircies, des couples de valseurs. Elles se dissipent peu à peu : on distingue une immense salle peuplée d’une foule tournoyante. La scène s’éclaire progressivement. La lumière des lustres éclate.
Une Cour impériale, vers 1855. »

Note de Maurice Ravel à son éditeur © 1920 Editions DURAND – Paris, France

En accord avec Serge Diaghilev (chorégraphe et mécène), Ravel envisageait dès 1906 de composer pour le ballet une Apothéose de la valse en hommage à Johann Strauss, lorsque la Première Guerre mondiale l’obligea à remettre ses projets.

L’œuvre verra le jour en 1920 d’abord présentée dans une transcription pour deux pianos à Diaghilev. N’y trouvant plus la genèse initiale, ce dernier refusera d’impliquer les ballets russes.

Si l’épreuve de la guerre a résolument donné à l’œuvre des sonorités fatales, l’esprit général reste à la danse. Ravel, doué comme aucun pour explorer le timbre de façon presque « chirurgicale », prend plaisir à décortiquer toutes les possibilités techniques des protagonistes… Du clavier, il passe à une orchestration ample, généreuse et s’amuse de ses explorations sonores. Ainsi, dans un roulement de baguettes, bassons et contrebasses auront l’honneur de planter le décor de l’œuvre, tirant l’auditeur vers un songe lointain et profond. Rapidement le squelette de la valse s’anime sur fond de mélodies de timbre : clarinette basse, trompettes en sourdines, accords égrainés de harpe. D’abord timide, la rencontre se fait amoureuse, glissée puis franchement dansée.

Découpée en plusieurs moments qui font alterner euphorie et tourment – rappel du motif boiteux des bassons qui revient en idée fixe, la valse se transforme un véritable feu d’artifices synesthésique. Fermez les yeux ! laissez-vous prendre dans le tourbillon des couleurs sonores avant que ne sonne l’impitoyable glas final.

Aurélie Vinatier

Aurélien Azan Zielinski est depuis 2015 chef d’orchestre associé à l’Orchestre Symphonique de Bretagne.

Lauréat, à 34 ans, du concours « Talents Chefs d’Orchestre 2012 » de l’Adami, il se voit depuis invité pour diriger des orchestres prestigieux comme l’Orchestre National de France, l’Orchestre de Chambre de Lausanne, l’Orchestre National de Lorraine, l’Orchestre Symphonique de Bretagne, l’Orchestre Symphonique et Lyrique de Nancy, l’Orchestre de Cannes Provence-Alpes-Côte d’Azur…

Si 2013 s’avère une année charnière dans la carrière d’Aurélien Azan Zielinski, son talent n’a pas attendu cette période pour être reconnu. En 2012, il remplace Joseph Swensen au pied levé à l’Orchestre de Chambre de Paris. En 2007, Yutaka Sado l’invite à diriger l’Orchestre Lamoureux alors qu’il n’a pas 30 ans.

Il a assisté John Nelson à l’Orchestre de Chambre de Paris, Emmanuel Krivine à l’Opéra de Lyon et Jacques Mercier à l’Opéra de Metz. Il s’est produit dans les salles de renom que sont le Théâtre des Champs-Elysées, la salle Pleyel, la Cité de la Musique, le Casino de Paris, l’Arsenal de Metz, l’Opéra de Vichy, l’Auditorium Reine Sofia à Madrid, le KKL de Lucerne, la salle Métropole de Lausanne, l’Opéra de Bombay…, dans un répertoire vaste et éclectique qui fait aussi la part belle à la création de pièces de compositeurs actuels (Gilbert Amy, Jérôme Combier, Julien Dassié, Olivier Calmel, Aram Hovannyssian, Liza Lim, Hector Parra).

Aimant nouer des liens forts avec les grands solistes, il a dirigé en concert Nicholas Angelich, Nicolas Dautricourt, Brigitte Engerer, Miguel-Angel Estrella, Philippe Jaroussky, Philippe Muller, Sarah Nemtanu, Xavier Phillips, Gérard Poulet.

Reconnu pour ses qualités de pédagogue, Aurélien Azan Zielinski a été nommé en 2009 Professeur de direction d’orchestre à la Haute Ecole de Musique de Lausanne. Il a été entre 2008 et 2014, Directeur musical de la Philharmonie du COGE (Chœurs et Orchestres des Grandes Ecoles) et, pendant plus de dix ans, Chef associé et Directeur musical des Orchestres de Jeunes Alfred Lœwenguth.

Aurélien Azan Zielinski s’est consacré, très jeune et avec succès, à la musique dans de multiples domaines (piano, violon, harmonie, analyse, orchestration et direction d’orchestre) avant d’obtenir à 23 ans son Prix de Direction d’Orchestre du CNSMD de Paris. Il a étudié le Grand Répertoire auprès de Janos Fürst, Jorma Panula, Ernst Schelle et s’est perfectionné pour le Répertoire Contemporain auprès de Zolt Nagy, David Robertson et Pascal Rophé. Il a été lauréat de l’audition de « jeune chef » à l’Orchestre Lamoureux en 2007 et finaliste au concours de « chef assistant » à l’Orchestre National de Montpellier en 2010.


Entretien avec Aurélien Azan-Zielinski

Une rencontre avec Aurélien

Aurélien AZAN-ZIELINSKI, chef d'orchestre

Entretien sur le choix d’un programme chorégraphique

Les Ondes plurielles avaient très envie de jouer la Valse de Ravel sous ta direction ; tu as suggéré de l’accompagner de la Suite de Danses de Bartók et du Beau Danube Bleu de Johann Strauss. Pourquoi ?
Ce programme sur le thème de la Danse donne une idée du XXème siècle en musique. La Valse de Strauss a un aspect académique : il s’agit de prendre la musique populaire et de la donner à écouter à la bourgeoisie. Puis Ravel vient titiller cette référence pour évoquer la décadence de l’empire austro-hongrois et plus largement de la bourgeoisie européenne de l’entre-deux-guerres. Ravel pousse les cadres de la valse, pour en faire une musique extravagante et moderne. Enfin, Bartók a à cœur de faire entendre la musique populaire et de lui donner une place qui est aussi la sienne : dans une salle de concert.

C’est un programme finalement assez politique, avec des œuvres que j’adore … et avec lesquelles j’entretiens un lien personnel, puisque j’ai passé mon prix de direction d’orchestre avec la Suite de Danses de Bartók !

Jouer ces pièces avec un orchestre amateur, un défi ?

Avec ce programme très exigeant, on est aux limites des capacités des orchestres en général, et a fortiori, d’un orchestre amateur, c’est un vrai challenge. Mais avec les amateur·trice·s, on a du temps. Certes, on part de plus loin, mais on peut faire un vrai travail de détail !

Beaucoup de membres d’Ondes plurielles ont déjà travaillé avec toi au COGE*. Qu’est-ce que cela te fait de les retrouver aujourd’hui ? 

Au-delà du plaisir de rejouer avec des personnes avec qui on a eu des aventures musicales et amicales, on gagne du temps car la confiance est là, les musicien·ne·s me connaissent.

Quel regard poses-tu en tant qu’artiste sur la période que nous traversons ?

[N.B. entretien réalisé début septembre 2020]

Je suis frappé de voir que la culture est l’une des premières choses qu’on arrête, et l’une des dernières qu’on fait repartir. C’est un problème, car l’art permet à l’être humain de s’émanciper…

La musique doit continuer. J’ai pu donner des concerts à la fin de l’été : le public était ravi de venir et de rencontrer des artistes vivant·e·s. Il n’y a aucune crainte à avoir sur le retour des spectateur·trice·s et auditeur·trice·s dans les salles. Sauf celle de ne pas pouvoir accueillir tout le monde !
* C.O.G.E. : Chœur et Orchestre des Grandes Écoles ; Aurélien Azan-Zielinski a été le directeur musical de la Philarmonie du COGE entre 2008 et 2014


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Chaque année, Ondes plurielles dédie l’un de ses concerts à un partenaire choisi dans le champ du social et/ou de l’humanitaire, en s’investissant au long cours auprès de structures associatives reconnues.

Par ailleurs, une saison parallèle de concerts de musique de chambre s’organise pour les publics éloignés de la culture, offrant une rencontre enrichissante pour les musiciens et une expérience unique aux bénéficiaires.

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Cordes Ondes plurielles pour LA BANDA DE MÚSICA

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Alice et Florianne pour Culture & Hôpital

Notre philosophie

LA PHILOSOPHIE D'ONDES PLURIELLES

Une aventure collective artistique et humaine

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VALEURS ARTISTIQUES : l’exigence de chacun individuellement à se surpasser pour sublimer la prestation collective

VALEURS HUMAINES : l’ouverture, la bienveillance, le partage, le soutien… des qualités qui caractérisent l’essence du projet

VALEURS COLLECTIVES : la confiance, la transparence, l’implication personnelle au sein de l’orchestre, avec les partenaires artistiques, les soutiens divers et auprès de notre public


Accueillir un concert et accompagner Ondes plurielles

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Ondes plurielles offre plusieurs concepts d’évènements : d’un concert « clés en main » à la construction collégiale d’un évènement qui vous ressemble

Structures privées

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Les concerts d'Ondes plurielles peuvent s'agrémenter de prises de paroles succinctes ou d'une conférence présentant les similitudes des orchestres et du monde de l'entreprise.

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Chaque saison, Ondes plurielles se produit dans le cadre d'une résidence artistique estivale.
La présence de l'orchestre s’organise conjointement avec le festival ou le lieu de diffusion, créant des passerelles entre Ondes plurielles et les artistes sur place. Cette dimension offre une mise en lumière des pratiques artistiques des amateurs et ouvre la possibilité de répertoires avec orchestre.

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